Wednesday, March 31, 2010

Entre les livres

Au rythme d'une enfance insouciante je m'évade quelques moments dans une cour.
Des actions absurdes mais joyeuses qui remplissent la vie de tellement d'enfants .
Je parcours cet univers que j'ai quitté il y quelques temps déjà. Longtemps ? je ne sais pas .
Des futilités qui meublent qui font et défont ,et qui en somme façonnent et décident.

Un avenir radieux qu'ils dessinent , imaginent , plannifient ; influencés , guidés ou juste surveillés, encadrés.

Si c'était moi , si c'était toi ... Ca ne l'est pas .Justement.

Quel bonheur que procure la naïveté, un bonheur profond mais inconscient et insatisfait.

Je me lance dans un combat, une quête incertaine d'un sentiment que j'ai rarement pu attraper. Je plonge , ou resortirais-je ?

Vais je parvenir à dompter mon hésitation ?

Le temps fera , comme toujours, de nous ce qu'il voudra .

Saturday, March 27, 2010

Lettre à la nature

Je ne me rappelais pas d'une dureté aussi frappante. Un mal sans répit , cela faisait un moment .
Regretterais je l'indifférence . O que non .
Petit être venimeux , et puis une sécrétion addictive qui pénétre et circule au rythme d'un battement éternel.
Je ne puis m'exprimer, je ne peux pas parler , je ne trouve pas de moi face à l'incompréhension .
Laissez moi , continuez votre chemin sans moi , je m'arrête je n'en peux plus .
Je ne peux continuer seule.
Avancer me semble pas faisable et pourtant je me débat.
J'essaye.
Tu m'a trouvée...tu es entré et depuis.
Des mots entrecoupés m'enmenent très loin dans un endroit ou la lumière n'est plus.
Elle cette force que je connais tellement me prend me torture et me laisse sans âme sans souffle . Aidez moi , sortez moi , je ne serai vite plus .

Monday, March 22, 2010

La cité perdue...

C'est comme cela que ça se passe ;

Une cité perdue, les lumières sont partout mais on ne les voit plus , les gens marchent dans tous les sens , un espace ou certains se bousculent , se parlent ,se sourient mais on ne les sent plus . Comme dans une bulle ; tout est Vide ,le néant.

Je ne ressens plus ce qui m'entoure . Tu es loin, rien ne compte, rien n'a de goût. Un seul être peut t il a lui seul créer cet étrange sentiment qui nous prends en entier, la perte. La notre.

Période courte , le temps est éphémère . On ira , on aura , on construira , on voudra, on fera , on ne se rend juste pas compte de la chance qu'on a aujourd'hui, maintenant, demain matin, cette nuit..

Ta joie me remplit, je sens ta force en moi , ta détermination et ta générosité font que je suis la, donnent un sens à mon existence.

Une liaison à l'essence envoutante qu'on ne pourra, jamais, cesser d'inhaler.

A toi , à moi , ou que cette cité soit , on y parviendra.